[Faux Dragon] A travers les Marches ....

Yerel regarde Gauvyn s'éloigner avec ces hommes. Cet homme est vraiment etrange.
La dernière fois il l'a attaqué sans raison et aujourd'hui il le laisse partir avec des prisoniers. Car il est certain qu'il a recconu au moins Divril, et qu'il a pris Lyla pour Sylna.
Yerel secoue la tête.
Enfin pour cette fois, il ne s'en plaindra pas. Il jette un regard à Clesya et se remet en route, dans la direction opposée, bientôt suivi par les autres. . .

Gauvyn écarquilla les yeux aux paroles de Torquemada puis une dizaine d'enfants avançait vers lui certains semblait hésitant , d'autre evitait son regard . Mais tous avai l'ép"e levé pour l'assomer ou le contraindre , a un mètre le premier se prit un pied dans le torse et le deuxième eut le nez fracassé par le coude de Gauvyn mais bien vite , ils le rejoignirent, il fut assomé du pommeau d'une épée ....

Gauvyn se reveilla quelques heures plus tard, il était par terre , les mains attachées, il n'avait plus sa cape blanche ni même son épée et il lui avait même retiré le petit bonhomme blanc en ivoire . Gauvyn fulminait, la tente était spacieuse et deux garde a l'entrée le regardait alors que trois silhouette se dessinait devant la tente dehors . Gauvyn essaya de se redresser et promena son regard autour de lui et tomba sur Sylna ....

Lorsque Sylna ouvre les yeux, elle se demande combien de temps s'est écoulé. Pas si longtemps que ça, sans doute, car rien n'a changé. Son épaule lui fait mal, ainsi que ses côtes, et sa position n'arrange rien à tout ça. Elle déglutit pour faire passer le goût horrible du "vin" qui lui est resté dans la bouche et lève les yeux, entendant quelqu'un entrer. L'Inquisiteur, sans doute... Elle ouvre des yeux horrifiés en découvrant le Commandeur en personne, attaché comme elle... attaché? Son coeur s'affole de nouveau et elle demande d'une voix blanche:

" Que... que faites vous ici ?"

Gauvyn releva la tête et écarquilla , les yeux , Sylna ici, ce n'était donc pas elle avec Yerel ? Pas besoin de s'en blâmer, il faisait nuit dans un sous bois ... Bref il la regarda un instant et fronça les sourcils et dit en murmurant :

- Je me suis fais démettre de mes fonctions pour avoir laissez partir vos amis et Yerel , croyant que vous étiez avec eux , voilà pour quoi je suis attaché .

Il essaya de se relever et chuta a terre sous le rire goguenard des deux gardes qui s'approchèrent en rigolant , il lui mirent un coup de pied dans les côtes et se tournèrent vers la fille . Le premier dit au second :

- Torquemada a dit de ne pas tuer l'ancien Commandeur, mais pas de laisser la fille tranquille .... hé hé .

Le second prit Sylna par les cheveux et la jeta a terre avec violence , alors Gauvyn la vit ou plutot la sentit , juste du coin de l'oeil comme quelque chose qu'on cherche a attraper mais qui nous échappe et dans un élan de colère , il le tint , le Saidin .
Ce flot de lave et de glace , cette rivière de feu gelé qui menaçait de l'anéantir de l'annihiler de l'intérieur , cette chose horrible entra en lui , il essaya de la contrôler et alors arriva le pire la souillure comme un arrière goût âpre qui donnait envie de vomir, comme la mort en sois comme une fleuve de goudron qu'on vous déverse dessus . La souillure passé , il maîtrisa la rivière de feu .

Et a cet instant parla la haine , de ceux qui avait osé frapper une femme surtout une femme qui ressemblait a Lena . Le premier garde regarda Gauvyn qui était devant lui d'un coup debout les yeux flamboyant de haine s'apprêtant a le frapper , il prit feu . Il l'immola par le feu, et Gauvyn s'aidant du feu des chandelles tissait de plus en plus de Feu . Le garde mourut sans un cri réduit en cendre , le deuxième recula mais un flux d’Air le bâillonna alors qu'un flux de Terre et de Feu arrêtait son coeur . Mort . ...

Les liens qui retenait Gauvyn se coupèrent en deux et il libéra Sylna de ses attaches, l'aida a se relever et garda le Saidin avec lequel il tâtonnait pour l’utiliser penchant entre le dégoût de lui-même et la haine mais en cet instant peu comptait ce que c'était juste comptait qu'il fallait sortir la jeune fille de là ...

Le fond de la tente fut fendu en deux d'un coup d'air, Gauvyn recupéra une épée sur un garde mort, prit Sylna par la main et avança dans le dédale des tentes se dirigeant vers l'enclos des chevaux . Deux gardes, seulement deux , le premier fut assommé par un flux d'Air et le deuxième une massa d'arme en Terre le tua sur le coup . en trente seconde , il trouva Pinacles , son cheval . grimpa sur lui sans selle, hissa Sylna et partit au galop sautant la barrière et s'enfonça dans les bois entendant les clameurs du camps des Enfants derrière lui . Alors , alors seulement il relâcha le Saidin ....

Sylna essaye d'analyser ce qu'elle vient de voir, mais la douleur rend la chose difficile. Tout est allé trop vite pour elle. Mais une chose est claire à ses yeux, et elle ne pense pas avoir été l'objet d'hallucinations: Gauvyn a canalisé *Lumière, il a canalisé!* pour la sortir de là. Un blanc manteau qui canalise, et qui plus est le Commandeur! elle en aurait ri si elle n'avait pas eu si mal. Elle glisse du cheval plus qu'elle ne descend. La douleur surgit à nouveau lorsqu'elle pose les pieds à terre, mais elle fait mine de ne pas s'en aperçevoir. Elle fixe Gauvyn et se surprend à ne pas le détester autant qu'avant, bien qu'il soit la cause de tous ces malheurs. Le fait qu'il canalise le rend étrangement sympathique à ses yeux, sans doute parce qu'il n'apparaît pas comme le fanatique qu'elle avait rencontré auparavant. Des souvenirs d'histoires horribles à propos d'hommes qui canalisent surgissent dans sa tête, mais elle les a toujours considérées comme des contes stupides pour faire peur aux enfants.

" Je crois que je ne supporterais pas de me trouver un instant de plus devant vous, si vous n'étiez pas le blanc manteau qui m'a tirée de là. Mais pas pour les raisons que vous pensez. D'ailleurs je crois que je n'ai pas bien saisi ce qui s'est exactement passé -je ne parle pas de votre canalisage. Que faisiez-vous attaché sous la tente? Est-ce que vos... collègues auraient réalisé la même chose que moi? Un blanc manteau qui canalise, ça ne se voit pas tous les jours..."

Elle ne peut empêcher l'ironie de percer dans sa voix. Après tout, rien ne serait arrivé si elle n'avait pas croisé son chemin.

Dans les bois Gauvyn retiens enfin les renes de Pinacles , et laisse Sylna descendre ce qu'il fait vite lui aussi . Il remarque une flechette dans son dos mais elle commence uen tirade a laquelle , il repond , lui même etonné qu'elle ne s'enfuit pas en courant :

- Mes ... collègues m'ont mis au arrets car j 'ai laissé echapper Vos ami ainsi qu'un homme recherché Yerel, ils m'ont enlevé mes aarmes , ma capes et mon armure et vous savez le reste ... Mais laissez moi voir cette flèche ....

Gauvyn n'attend pas l'assentiment de la jeune fille et se glisse derrière elle et regarde la plaie et décrete :

La flèche est peu profonde et elle n'a touché aucun os nis ligament , vous avez eu de la chance, je vais la retirer , vous allez avoir mal sur le coup mais le dos saigne peu .

Gauvyn attrapa la hampe de la flèche et ira d'un coups ec dessus l'arrachant net . Puis regarde la plaie sort un tissus blanc et l'appose dessus quelques secondes avant de l'enlever . Ca ne saigne plus mais la plaie est toujours là .

Sylna pousse un soupir de soulagement en apprenant que Divril et Ellana ont pu s'enfuir. Elle tressaille lorsque l'ancien Commandeur lui retire la flèche, mais encore plus lorsqu'il pose un morceau de tissu pour arrêter le peu de sang qui coule. Elle n'a connu de lui que les gifles qu'il lui a assenées, et elle n'a pas un souvenir particulièrement réjouissant de ses entrevues avec lui. Elle sourit alors en se tournant vers lui, avec une reconnaissance non feinte.

" Merci. Je ne sais pas pourquoi vous, un blanc manteau malgré tout et qui déteste les sorcières de mon espèce, vous avez fait tout cela pour moi, mais on dirait que nous sommes dans le même bateau à présent. Et vous n'avez plus rien du fanatique que je connais. Vous avez une idée pour la suite?"

Après être partis cherché leurs montures, Yerel et les autres sont revenus se poster dans l'ombre, non loin du camp des blancs manteaux. Ils ont ainsi assisté à la fuite de Gauvyn et Sylna.
Si en plus de voir la scène il n'avait pas senti leur deux odeurs sur le cheval qui s'est enfui au galop, il n'y aurait pas cru, mais là. . .
Les cinq compagnons échangent un coup d'oeil et lancent leurs montures à la suite des deux fuyards (exception bien sure faîte de Clesya, a pied comme d'habitude).
Et ils les rejoignent d'autant plus vite qu'ils se sont arrêtés. Prudent, Yerel met sa monture au pas et la laisse aprocher lentement de Gauvyn et Sylna.

Clesya était méfiante, plus que méfiante en fait. On pouvait pas se fier aux hommes des terres humides et celui qui se tenait près de Sylna, sa presque soeur, était un de ses Blancs Manteaux qui l'avient enlevés.

Elle tenait sa lance en arrêt, prête à embrauché gauvyn au premier mouvement sus^pect.

"Sylna, éloigne toi de lui!" Demanda-t-elle d'un ton pressant à la jeune fille.

Sylna sursaute en entendant la voix de Cleysa dans son dos. Elle est là, avec Yerel à cheval. Et bien sûr, elle ne les a pas entendus venir. Elle se sent soudain mieux, comme si la tension en elle se relâchait enfin. Seule le léger tiraillement de son épaule et des restes de peur lui rappellent ce qui s'est passé dans le camp. Et la présence de Gauvyn, bien sûr.
Elle adresse un geste rassurant à ses deux compagnons.

" Du calme, Cleysa. C'est cet homme qui m'a libérée, et sans lui je ne serais pas là. Je ne sais pas si on peut lui faire totalement confiance, mais il ne peut pas retourner avertir ses compagnons. D'ailleurs je ne vois pas pourquoi il le ferait." ajoute-t-elle en regardant l'ancien blanc manteau, comme pour attendre qu'il démente.

C'est avec une énorme surprise qu'Ellana avait assisté à la scène. Le commandant des blancs-manteaux qui s'enfuyait avec Sylna! Inimaginable! Pourquoi?

Yerel s'approcha avec méfiance alors que Clesya en faisait part à voix haute. Pourtant Sylna se faisait rassurante. Ellana soupira de soulagement et s'approcha de la jeune fille, tremblante.

- "Oh Sylna! Quel soulagement de te voir!"

Elle se retint de lui tomber dans les bras et posa un regard interrogateur sur Gauvyn.

- "Je ne comprend pas... Vous êtes commandant des blancs-manteaux... ou étiez. Pourquoi ne l'êtes-vous plus?"

Le regard de Gauvyn se posa sur Yerel sur les membres de son groupes puis enfin sru l'aielle qui tenait une lancette pret a l'emploi darder dans sa diraction, il n'avait plus d'armure et etait en simple surcot militaire et sa main glissa sur sa hanche et trouva l'épée du mort, sa main resta dessus .

Sylna leur parla alors et le regarda attendant surement une réponse :

Non, bien sur que non, je ne les appellerais pas, plus maintenant ... Me demettre de mes fonctions , ce Tomàs ... J'aurais sa tête ... Pas maintenant en tout cas .
Sylna est blessé un de vous n'a pas quelque chose , pour l'aider . ?

Pose son regard d'onyx sur Ellana :

- Un inquisiteur m'a "démis" de mes fonctions pour avoir sauvé vos cou de la faucille des Mains de la Lumière .

Divril démonte en même temps que les autres, profondemment soulagé que Sylna soit saine et sauve (ou à peu prèset dévisage le commandant des blancs manteaux en silence. Décidemment, cet homme lui fait un drôle d'effet. Comme si quelquechose en lui éveillait un écho chez le jeune homme.
Intrigué, il secoue la tête et se rapporche des autres (d'Ellana surtout), avant de sourire à la réponse de Gauvyn. Mais il ne répond rien, laissant quelqu'un d'autre prendre l'initiative.

Quand Gauvyn demanda si l'un d'eux n'avait pas quelque chose pour soigner Sylna, elle jeta un regard à Clesya. Elle, elle savait guérir. Pas Ellana. Quoiqu'elle n'avait jamais essayé encore.

- "Tu devrais t'asseoir un peu Sylna et reprendre des forces."

Puis, elle regarda Gauvyn. Démis de ses fonctions par l'inquisiteur.

- "Les inquisiteurs ont plus de pouvoir que le commandant des bl... enfants de la lumière?"

Malgré elle, elle ajouta :

- "Désolée pour vous. Même si je pense que c'est une bonne chose. Peut-être que cela vous ouvrira les yeux et que vous cesserez de prendre tout le monde pour un ami du ténébreux."

Kay'ne avait vu tout du long la scène qui s'était déroulée dans la tente des prisonniers.
Cette fois-ci, je n'aurais pas à assommer les gardes.
C'est alors que l'ex-Commandeur, et la jeune personne qu'il avait délivré partirent discrètement vers l'écurie du campement. Il les vit alors se diriger vers le camp des Aiels, où devaient de trouver quelques Aes Sedai.
Et maintenant, que fait-je ?
Il se metta alors à se diriger lui aussi vers l'écurie, monta sur Jeade'en, et partit à leur suite.

Yerel est resté silencieux jusqu'ici, anxieux. Quelquechose ne va pas. Quelquechose que Gauvyn et Sylna ne veulent pas dire, mais quelquechose qui transparait dans leur odeur. Quelquechose qui leur fait peur à tout les deux.
Laissant cela de côté pour le moment, ça et le peu de sympathie qu'il a pour Gauvyn, Yerel commence à s'avancer vers Sylna quand soudain il se fige, le vent lui portant une odeur, ses oreilles captant un son, une légère vibration du sol.
Vivement, il dégaine son arme, avant de lacher, froidement:

"Quelqu'un approche."

Clesya gardait un regard méfiant vers Gauvyn, le surveillant du coin de l'oeil afin de s'assurer qu'il ne tenterait rien... la confiance d'une aielle était très dure à gagner... celle de Clesya pratiquement impossible.

Puis Yerel fit son annonce et Clesya leva les yeux sur lui. Inutile de demander comment il le savait... sûrement que ses amis loups le lui avait soufflés.

"Qui approche? Il est seul?" Demanda-t-elle en se mettant à scruter les alentours.

Yerel regarde Clesya un instant tout en se concentrant plus attentivement sur les signaux que lui envoient ses sens de loup.

"Oui, un homme seul qui chevauche vers nous. Je connais son odeur, j'en mettrais ma tête à couper. Seulement je ne me souviens plus d'où."

Il secoue la tête, incapable d'en dire plus, excepté une chose, qu'il rajoute, du bout des lèvres:

"Il est sous le vent. C'est pour ça que je le sens d'aussi loin. Mais il sera bientôt là. Et il vient de la direction du camp des blancs manteaux."

Kay'ne ralentit et hésita à aller plus loin. Jeade'en avait senti quelque chose, mais quoi ?
Bon, maintenant, tu as le choix : tu peux toujours partir loin d'ici ... Après tout, là où tu te diriges t'attends peut-être la mort.
Kay'ne poussa cependant Jeade'en à avancer, malgré son apparente anxiété.
- Tout doux ... on arrive.

Leva les yeux sur Yerel quand il annonça l'arrivée d'un autre homme, seul et a cheval . Etrange , venant du camps des Enfants de la Lumière ? Encore plus étrange ...

Il dégaina l'épée du mort rapidement et la tint baisser le long de sa jambe et avança a côtépeu loin de Yerel et de l'Aielle qui le regardait comme si il lui avait volé son diner .

Puis il le vit, a cheval, scrutant l'horizon .



- Mercenaire ... ce n'est qu'un mercenaire ... nous l'avons engagé , il y a quelque temps . bizarre .

Kay'ne s'approcha du petit groupe qui s'était formé auporès des fgueurs, la gorge serrée par la peur et l'angoisse.
Pourquoi est-ce à moi que cela arrive ? Me retrouver dans une mission, où Le Commandeur des Blancs Manteaux est déchu par un Inquisiteur
Il fit un pas de plus ...
Tout le monde connaît la rivalité entre l'Inquisition, est les autres Blancs Manteaux !
Il ne pouvait plus s'enfuir
J'espère ne pas avoir pris une trop mauvaise décision.
Et il s'arrêta.

Gauvyn avança vers le mercenaire l'épée au poing et le regarda dans les yeux et d'une voix doucereuse mais tranchante comme du métal, il dit allant droit au but du probleme:

- Pourquoi, nous avez vous suivis Mercenaire? Repondez car je ne pourrais peut être pas cette Aielle enragée, de vous a moi, je crois qu'elle a mangé une baie pas fraiche mais passons . Alors pouquoi ?

Kay'ne répondit à la voix dure de Gauvyn :
-Pourquoi ?
Bonne question
-... sérieusement, j'aurais peut-être du rester au camp comme les autres, mais vous connaissez la curiosité ? Ce sentiment pourrait vous poussez à faire n'importe quoi !
Et puis, ce qui me chifonne, c'est comment un homme peut-il passer du jour au lendemain, Commandeur, puis fugitif ? Un homme droit aurait répondu de ses actes ! Même si ,celui-ci était courageux, surtout venant de la part d'un Blanc Manteau.
Il ne faut pas s'emporter, ne l'oublie pas, tu es encerclé de personne qui n'attendent qu'un seul geste brusque pour t'embrocher.

[Hrp: S'il te plait Kay'ne, lit les posts et Edit: nous ne sommes pas dans le camp aiel, nous sommes dans la forêt, avec le groupe de fugueurs + Gauvyn et toi, c'est tout.]

Yerel se torune vers le mercenaire, et répond, brutal:

"Votre odeur me dit que vous ne dîtes pas tout, loin de là. Et je ne cois pas que vous soyez en mesure de poser des questions."

Il désigne Clesya.

"Cette jeune femme est une vierge de la lance, une guerriere aielle. Moi je porte un épée aux hérons, et c'est notre bon commandant ici présent qui m'a fait cette balafre. Inutil donc de dire que vous n'êtes pas le plus fort ici ce soir. L'intelligence voudrait que vous vous expliquiez."

Sylna pose une main apaisante sur le bras de Yerel.

" Du calme, je ne pense pas qu'il soit un ennemi. Il m'a délivrée du camp des blancs manteaux, la première fois. Certes cela ne suffit peut-être pas pour savoir ce qu'il fait ici, mais il va s'en expliquer lui-même, inutile de le menacer."

Elle se tourne ensuite vers le mercenaire.

" Ecoutez, vous n'avez sans doute pas de mauvaises intentions, mais vous avez effectivement des explications à fournir."