[Faux Dragon] A travers les Marches ....

- le Puissant Seigneur Al'mairenn ? Il est vrai qu'il a une fille , savoir si c'est vous .... Bref , Dame Al'mairenn , si il est vrai que vous etes que vous pretendez etre, vous avez mal choisis vos compagnon ! Cette jeune fille, ici présente s'est échappé du campement des Enfants devant Tar Valon alors que je comptais revenir lui poser quelques question plus tard mais , évadé après que trois de mes hommes furent assomé . C'est pour sa que vous allez rester ici sous bonne garde le temps que je revienne ! Maintenant , votre nom jeune fille et dis moi comment vous vous etes évadé .

Les dernier propos étaient pour Sylna et le Commandeur qui la dominait de la tête et les épaules attendait bien avoir une réponse .

Sans dire un mot, Divril se relève de la civière et vient se placer derrière les deux jeunes femmes.
Il regarde le commandant des blancs manteaux avec curiosité.
Bizarrement, cet homme ne lui fait pas penser à un blanc manteaux. Il y a quelquechose en lui qui le fait paraître presque déplacé dans ce décor, dans cet uniforme.
Néanmoins, il a l'air de prendre son rôle très au sérieu.

Sylna se demande comment le blanc manteau peut gober le mensonge d'Ellana. Certes elle est convaincante et ne doit pas mentir sur son identité *ainsi c'est la fille d'un Seigneur?* mais l'histoire de la fuite a du mal à tenir debout. Sylna profite que l'attention du Commandeur soit concentrée sur la jeune novice pour trouver la réponse à la question fatidique. Lorsqu'il reporte ses yeux sur elle, elle se lance d'un ton sans réplique:

" Mon nom est Sylna Al'Tahar et je vois mal ce que je pourrais dire pour me justifier qui ne m'associe pas aussitôt à une Amie du Ténébreux."

Tomàs qui jesque là regardait la conversation de loin se rapprocha pour interroger, si ça avait été dans sa nature il aurait siffloté gaiement. Il avait toujours aimé les interrogatoire en particulier quand on mentait.
Sans se préoccuper du Commandant il interogea Ellana:

"-Vous étes drolement loin du Tear a ce qu'il me semble, vous aurez du mal a me faire croire qu'on est une telle envie de fuir qu'on se retrouve dans la dévastation.
Et puis ça explique votre cas pas celui de vos amis"

et d'un geste vif il appela des hommes en armes et leur dit.

"séparer ce petit groupe il serait dommage qu'ils se donnent le mot"


[régle numéro 1,pour ceux qui comprennent]

Gauvyn écouta Sylna et regarda le jeune homme, "Divril" , il lui paraissait étrange comme si sa présence ici était totalement incongru , mais il fit baste de cela quand le grand inquisiteur s'interposa pour séparer le groupe . Sa bras se mit en travers de la poitrine de l'Inquisteur et son regarda transperça les homme d'arme qui s'arretèrent sur place , Gauvyn caressait le pommeau de son épée d'une façon amoureuse . Il regarda un homme d'arme qui deglutit et dit :

- Sortez**l'homme tenta un regard vers l'Inquisiteur mais un sorucil arqué du Commandeur et ils s'enfurent**Bien, Inquisiteur , ne vous melez plus de ceci, bientot l'armée va partir , vous vouliez des esprits a éclairé ? vous en aurez .
Maintenant, Sylna ? Dites moi comment vous vous etes évadé .

Du coin de l'oeil , il regarda Divril , il ne pouvait s'empecher de trouver quelque chose de commun chez le jeune homme .

Sylna se retient de pousser un juron. * Par la Lumière, cet homme est buté!* ça n'arrange pas les choses. Elle pense alors à celui qui l'a délivrée, un espion ou quelque chose comme ça, qu'elle a simplement entrevu. Dire la vérité ne devrait pas le mettre en danger, elle ne sait rien sur lui. Et elle n'est pas obligée de dire qu'elle a canalisé.

" Bon, d'accord, je vais vous dire la vérité: c'est un homme qui m'a délivrée. Je ne l'avais jamais vu, croyez-moi, et je ne pense pas qu'il avait pris le risque de venir dans votre camp dans le seul but de me délivrer. Il a assommé trois des vôtres, a défait mes liens et m'a laissée me débrouiller pour la suite. Je n'ai même pas eu le temps de connaître son nom, il est parti aussitôt. Vous imaginez bien que je n'allais pas revenir gentiment m'asseoir sous la tente?"

Elle fixe le Commandeur comme pour attendre qu'il démente ses paroles. S'il n'accepte pas la vérité, que pourrait-elle dire d'autre?

Divril sent son pouls s'accelerer quand l'autre homme, l'inquisiteur, ordonne de les séparer. Mais le commandant intervient et remet l'homme à sa place avant de se réinterresser à Sylna. Néanmoins il ne peut s'empêcher de lancer un coup d'oeil au jeune homme, comme si il avait aussi remarqué quelquechose chez Divril.
Ce dernier, perplexe, se demande ce que le blanc manteau voit en lui, mais il chasse très vite cette pensée de sa tête pour s'interresser à la suite de l'interrogatoire.
Il n'a pas encore pronocé un mot, mais il sait très bien que son tour va venir.

Ellana ne cilla pas devant les interrogations de l'homme à son sujet. Qu'il la croit ou non, maintenant, elle s'en fichait. Tenter de le convaincre à tous prix ne ferait que le rendre méfiant. Un autre homme voulut les séparer, aussit$ot remot à sa place par le chef. Ca allait être plus dur que prévu... Oui, ils étaient loin, comment l'expliquer? Elle ne pouvait pas dire qu'ils suivaint l'armée de Tar Valon tout de même? Ils seraient aussitôt classés comme amis du ténébreux et donc ennemis des Blanc-manteaux. Instinctivement, elle se rapprocha de Divril, qui semblait aller bien, ce qui la soulageait grandement.

- Bien jeune fille , j'accepte de vous croire enfin pour l'instant .**Cette jeune fille lui rappellait trop sa soeur pour qu'il puisse lui faire du mal**Bien maintenant , mon jeune ami , votre nom ? Je pense que vous alliez mieux et la jeune femme ne vous a pas dit muet ? N'ayez pas peur , répondez juste la vérité se suffira .

Les yeux de Gauvyn se portèrent vers l'inquisiteur , il semblait avoir mangé un mure pas fraiche , vu la tête qu'il tirait .

Divril hésite une seconde. Ne pas confirmer l'histoire d'Ellana serait dangereux pour la jeune fille, mais d'un autre côté, il a l'accent de Cairhien, pas celui du Tear, ce qui va l'obliger à broder à partir de ce qu'Ellana a raconté.

"Ellana vous l'a dit, je m'appelle Divril. Divril Dhan. Mon père est le seigneur Hillin Dhan, l'un des plus proches conseiller du Trone du Soleil."

C'est la première qu'il revendique son rang en public, et il ne l'a fait que parceque leur rang, a Ellana et à lui, peut jouer en leur faveur. N'empêche, ça lui fait un drôle d'effet. Très désagréable.

"Mon père m'a envoyé à Tear pour m'apprendre l'art du combat, et parceque ma grand-mère etait tearienne. C'est là que j'ai rencontré Ellana. Comme elle vous l'a dit, nous sommes tombés amoureux et comme son père refusait d'attendre parler d'une union entre nous, nous avons fuit. Notre idée était en fait de rentrer chez moi, mais nous avons été pris en chasse par des homme du seigneur Al'mairenn, ce qui nous a obligé à un détour. C'est dans une auberge que nous avons rencontré nos compagnons de voyage. Quand aux raisons de notre presence apparement inexplicable dans les marches, elle tient au fait que nous avons pensé que le père d'Ellana ne penserai jamais que nous sommes allé dans les marches. Surtout en ce moment.
Un choix judicieux, d'ailleurs, puisque les poursuites ont cessées."

Gauvyn l'écouta et rit doucement ...

Vous vous contredisez sur un point , Divril . Je crois effectivement que vous etes le fils du Seigneur Dhan . Mais, un proche conseiller du trône du soleil ne serait pas une quantité negligeable pour la fille d'un Puissant Seigneur de Tear loin de là, a moins que sa fille ne doit être mariée a un Puissant Seigneur mais eux tous sont déja mariés . Bref, je sais la réputation que nous avons puisse , vous faire peur mais sachez que nous cherchons juste a ....

A ce moment là, un enfant entra dans tente , il était essoufléet dit d dans un souffle :


Seigneur ! Seigneur , nous avons repéré l'armée du Faux Dragon plus nombreuse que nous, au nord a une vingtaine de lieue mais seigneur il y a aussi une armée moins nombreuse de Sorcière et de garde de Tar Valon et étrange seigneur , il y a des Aiels . Les deux armées semblent pretes a se foncer dedans !

Gauvyn arqua les sourcil , alors commes a le Trône d'amyrlin avait dépeché ses troupes , en trop petit nombre, un plan tournan dans sa tête, il fallait s'allier temporairement au Aes Sedai pour pouvoir vaincre ce Faux Dragon , du moins d'apres les dire de l'Enfant . Inquisiteur de Torquemada , vous resterez ici, Enfant amené avec vous 50 Enfants , dans deux tentes au mileiu du campement dans la première vous mettrez ses deux jeune gens .***il montre Ellana et Divril *** Et dans l'autre cette jeune femme, nous laisserons nos tourteraux ensemble ....

Ellana retint son souffle quand le Commandant trouva à redire à l'histoire de Divril. Ils furent sauvés par l'apparition d'un soldat avec de tristes nouvelles. Ellana jeta un regard inquiet à Divril. Le Commandant, donna ses ordres et elle dut se retenir de pousser un immense soupir de soulagement en apprenant qu'elle resterait avec le jeune homme. Elle jeta néanmoins un regard angoissé à Sylna qui elle, resterait seule.

Deux minutes après que le commandant ait donner ses ordres, des soldats pénètrent dans sa tente et conduisent les jeunes gens vers deux tentes séparées. Juste avant que Sylna n'entre dans la première, elle leur lance un coup d'oeil effrayé auquel Divril ne peut répondre que par un pauvre sourire peu rassurant. Il n'a ensuite que le temps d'appercevoir la colonne de soldat qui quitte le camp, avec à leur tête le chef des blancs manteaux, avant d'être poussé avec force dans la seconde tente, où il est rejoint moins d'une seconde plus tard par Ellana.

[Suite pour Divril et Ellana dans le topic annexe]

Yerel et clesya approchent silencieusement du camp. Lyla les suit, un peu moins silencieuse.
Ils ont laissés les chevaux dans une clairière à proximité et ont comblé le reste de la distance à pied, guidés par les odorats de Yerel et Shadow.
Arrivés en vue des premières tentes, les quatre compagnons se dissimulent dans les broussailes.
A mi-voix, Yerel prend la parole.

"C'est ici. Je suis certain qu'ils sont là."

*tss il sait vraiment pas mener correctement un interrogatoire....tant pis passons*

préférant ce taire pour le moment il regarda le commandeur faire, lorsque ce dernier lui donna des l'ordre de rester avec les prisonniers Tomàs se réjouit intérieurement. Aprés tout le commandeur lui donnait quasiment l'ordre de les interroger non?
Donnant discrétement quelques ordres il attendit patiemment le départ du Commandant.

[suite dans topic annexe:Interrogatoire pour Sylna.]

Clesya regarda avec attention le camp, obsevant la disposition des tentes et celle des gardes ainsi que leurs nombres. Elle regarda aussi les mielleurs chemin à prendre pour arrver au centre du camp.

"Je compte une cinquantaine de garde. Une bonne trentaine qui surveille le périmètre du camps et le reste sont tous dans le centre. Il sera facile de pénétrer dans le camp, mais plus diffcile de libérer Sylna et les autres s'ils sont comme il serait logique aux centre de celui-ci."

Kay'ne restait à l'écart des autres Blancs Manteaux. Il était en train d'aiguiser son épée, lorsqu'il vît la femme qu'il avait délivrée ...
Ce n'est pas vrai ! Comment fait-elle pour se faire prendre deux fois par les Blancs Manteaux en si peu de temps ?
Kay'ne réfléchit quelque temps à ce qui lui arriverait s'il se faisait démasquer, mais un Blanc Manteaux arriva en courant dans le camp, et entra directment dans la tente du Commandeur.
Par la précipitation à laquelle il est rentré dans la tente du Commandeur, et de plus sans s'annoncer, les nouvelles qu'il apporte doivent vraiment êtyre graves.
Peu de temps après, la nouvelle tombait : une bataille allait se dérouler.

Yerel regarde Lyla en souriant.

"Qui vous dit que nous ne sommes que trois? En ce moment précis une meute d'une dizaine de loups courrent vers nous. Ils seront là avant la nuit."

Oui, ils viennent. Yerel n'a qu'à fermer les yeux pour les sentir venir.
Ils sont menés par un loup du nom de flamme sauvage. Enfin, ce n'est pas vraiment son nom, plutôt une traduction en mot de ce nom, qui tient plus a une idée qu'a assemblage de lettre. Yerel pense flamme sauvage, mais en fait il s'agit plutôt d'images et d'émotions, comme un loup qui regarderait, à ce point fasciné qu'il finit presque par s'y fondre, un incendie forestier au coeur de la chaleur de l'été.
Yerel n'a même jamais rencontré aucun d'eux, mais les nouvelles circulent aussi bien chez les loups que chez les hommes. Tous savent qui il est. Ils lui ont même donner un nom. Pour les loup, il est Nuit Forestière. Un nom qui est en fait l'image d'un loup noir qui hurle dans le silence d'une forêt en plein coeur de la nuit. C'est un beau nom, qu'il est fier de porter.
Et quand les loups d'ici ont entendu son appel à l'aide, un cri parlant de besoin, de peur et d'impuissance, ils n'ont pas hésité une seconde avant de venir à sa rencontre.

"Nous arrivons, frères", ne cessent-ils de leurs répéter à lui et a Shadow, "Nous arrivons."

Et ces mots sont la traduction dev l'image mentale d'une dizaine de loups galopants ventre à terre vers eux. Le frère des loups peut même sentir l'odur de la poussière qu'ils soulève en courrant.
Son sourire s'élargit.

"Oui, ils viennent. Mes frères ont répondus à l'appel."

" Des loups?" Demanda Clesya en fronçant les sourcils.

Puis elle haussa les épaules indifférentes comme si ca allait de soit. Elle prit un temps pour voir incorporer ses loups dans un éventuel plan de secours.

"Les chevaux que vous utilisez vous les hommes des terres humides ont peur des loups non?" S'enquit-elle.

Puis elle désigna du doigt l'enclos où était gardé les montures des Blancs Manteaux.

"Peut-être que si vous faisiez en sortes que vos loups effayent ses bêtes, les gardes seraient assez occupés, non?"

Des loups ? C est donc sa .... Je me disais aussi, chaque fois je vois de sloups de plus en plus .... étrange .... il y a d autre chose bien sur mais ...des Loups ... Bref, si les loups peuvent semer la discorde alors on peut essayer de les sauver . En espérant que nous soyons pas nous même pris dans les filets ...

Lyla hochait lentement de la tête ...

"Frères, nous sommes là"

La phrase (ou plutôt une image où onze paires d'yeux le regarde de pas très loin caché par la végétation) parvient à Yerel alors que la nuit commence à tomber. Il envoie à ses frères un sourire (image de loup penchant la tête sur le cotèe, langue à moitièe sourire) avant de leur exposer le plan.
Flamme sauvage semble hésitant.

"Tu veux que nous effrayons les quatre pattes avec des pieds durs? Je ne vois pas l'intêret. Les deux pattes de ta meute sont loin des quatre pattes avec des pieds durs."

"Oui, mais ils sont entourés d'autre deux pattes, beaucoup d'autre. En effrayant les quatre pattes avec des pieds durs, alors vous attirez certains des deux pattes. Moi et le reste de ma meute pourrons alors agir avec plus de facilité"

Flamme sauvage reste perplexe, mais finit par accepter. Les loups s'eloignent alors vers les chevaux tandis que Yerel se tourne vers Clesya et Lyla.

"Que le spectacle commence."

Clesya regarda un moement dans la direction des chevaux des Blancs manteaux. Elle aperçu plusieurs sihouettes se faufilaient près des montures et ces dernières qui s'agitaitent de plus en plus.

"C'est le moment d'y aller." mumura-t-elle en se levant pour rester tout de même à demi courbé afin de s'exposer le moins possible.

"Suivez moi, je vais nous conduire au centre du camps. N'hésirez pas à frapper pour tuer si vous êtes repéré mais restez discrets avant tout."

Lyla suivit le regard de Clesya et vit les chevaux Blanc Manteau s'enfuirent dans tous les sens bientot suivis par leur proprietaire essayant vainement de les rattrapper . Puis Clesya avança se faisant discrète , Lyla s'aplatit au maximun et la suivit en silence ses poignards dans chaque main peur comme jamais . Elle gromellait des choses a propos de se jeter dans les filets ....

Yerel ferme la marche, tous les sens aux aguets. Pour lui, la luière n'a nullement baissé, et il y voit comme en plein jour. Ils se rapprochent de plus en plus des deux tentes du centre. Sylna est dans l'une d'elle, il en est certain. Et elle n'y est pas seule. L'homme avec elle dégage des relents peut engagent. Une odeur presque fétide. Quand à Sylna, elle ressent de la peur.
Il lui faut se faire violence pourne pas se mettr à courir vers la tente, mais celle-ci est mieux gardée que la seconde, où ils repèrent les odeurs d'Ellana et Divril. Eux, par contre n'ont pas peur. Ce serait même plutôt le contraire à en juger d'après ce qu'il perçoit.
Il hausse un sourcil, surpris. Ils ne sont quand même pas en train de . . .