[Faux Dragon] A travers les Marches ....

Clesya rrive près d'une tente garder par deux Blancs manteaux. Il ne fait aucun doute qu'ils gardent des prisonnier et la vierge de lance espère que les trois captifs sont retenus ici ensemble.

Elles longe la tente pour arriver à proximité des deux gardes puis sauta sur les hommes armées. Pris par surprise ceux-ci n'eurent même pas le temps de donner l'alarme.

Elle fit signe aux deux autres qu'ils pouvait venir et commença à tirer un des gardes inconscient à l'intérieur de la tente... et ce qu'elle y découvrit la stupéfia.

Divril était en effet allongé près d'Ellana et ils s'embrassaient entre de séances d'intenses échanges de regards de gara crevés...

"Oh..."

Trop accaparé par Ellana, par ses lèvres, par son reagar, Divril ne prend d'abord pas conscience de l'entrée des trois autres dans la tente. Ce n'est que lorsque sa nuque commence à le démanger désagréablement qu'il consent à se retrouner pour découvrir que Clesya Lyla et Yerel les regardent l'air inrédule.
Vivement,il se relève, rouge comme une pivoine et commence à bredouiller:

"Euh, je, nous, c'est à dire. . . "

Il s'interrompt, incapable de trouver ses mots, avant de reprendre, l'air de rien:

"Mais que faites-vous là?"

Ellana embrassait le jeune homme quand elle le sentit se raidir et détourner la tête. C'est alors qu'elle prit conscience qu'ils ne sont plus seuls. Elle tourna la tête vers Lyla, Clesya et Yerel et rougit violemment, mais sans pouvoir dissimuler un petit sourire.

Elle se retint d'éclater de rire à la gène de Diril et se releva gracieusement, le plus naturellement du monde, comme si elle n'avait pas été surprise dans une situation délicate. Elle chuchota au jeune homme :

- "Je crois qu'ils sont venus nous délivrer..."

Elle arborait toujours son sourire énigmatique.

- "Vous en avez mis du temps... Allons chercher Sylna!"

Elle adressa un clin d'oeil à Divril avant de s'avançer vers le reste du groupe.

Lorsque Yerel pénètre dans la tente, il constate de visu que les deux jeunes gens étaient effectivement en train de faire ce que leurs odeurs suggéraient.
A dire vrai, ils ne semblent d'abord pas se rendre compte de leur présence.
Il secoue la tête, incrédule, au moment où divril se relève d'un bond. Son odeur prend aussitôt une teinte génée, voir mortifiée.
Ellana, elle, se relève comme si de rien n'était, et son odeur n'est pas le moins du monde génée. Elle dégage même quelquechose de satisfait.
Yerel les regarde, goguenard.

"Le moins qu'on puisse dire, c'est que vous ne manquez pas de sang-froid. Je n'en connais pas baucoup qui, prisonniers dans un camp de blancs manteaux passeraient le temps de cette façon."

Ca l'amuserait, si Sylna n'était au centre de ses pensées. C'est pourquoi il redevient serieux.

"Peut-on y aller?"

"Oui il faut y aller!" Répéta Clesya en faisant disparaître son expression stupéfaite.

"Mais mettez d'abord ces capes blanches d'abord." Continua-t-elle en désignant les deux blancs manteaux assomés à ses pieds.

Elle regarda autour d'elle se rendant soudan compte que Sylna n'était pas là. "Mais où est Sylna? Où l'ont-ils emmenés? Elle est toujours dans le camps j'espère." Demanda-t-elle inquiète maintenant.

Ellana ne put s'empecher de sourire encore un peu plus à la remarque de Yerel et son air goguenard. Elle obéit à Clesya. Elle releva la tête à sa question et répondit gravement, avec une lueur d'inquiétude :

- "Ils l'ont emmené dans une tente à part. Le chef des Blanc-manteaux semblait fortement s'intéresser à elle... Aisni que son inquisiteur."

Elle regarda Yerel.

- "Il faut se hâter. Il est certain qu'elle n'était pas dans les petits-papiers des Enfants de la lumière!"

Divril acquiesce sombrement. Tout à son tête à tête avec Ellana, il avait completement oublié Sylna, à sa courte honte.

"oui, cet homme, l'inquisiteur, il avait une façon de nous regarder, elle surtout."

Soudain il se prend a avoir vraiment peur pour la jeune femme. Cet homme avait vraiment quelquechose de malsain.

"Il faut la soritr de là."

La peur qui émane soudain des deux jeunes gens le frappe de plein fouet, en même tmps que le frappe le mot que tout les deux emploient.
Inquisiteur.
Par la lumière Sylna est entre les mains d'un inquisiteur!
Un instant, il oublie où il est et sa raison vacille, tandis qu'une rage purement animale l'envahit. Sa main se pose sur la garde de son épée, il pivote sur ses talons, le meurtre s'inscrit dans son regard et. . .

"Frère, non!"

Une ombre noir s'interpose soudain entre lui et la sortie de la tente.

"Nous sommes des loups pas des taureaux. Nous n'agissons pas ainsi."

Yerel se fige, hésitant.

"Ils sont trop nombreux pour toi seul. Il faut rusé."

Clesya posa une main ferme sur l'épaule du frère des loups.

"Si c'est la tente que nous avons vu à côté, celle qui est entourée de garde il nous sera impossible d'y rentré comme nous l'avons fait pour celle-là. Il faudra se battre, seulement aux vues du nombre d'homme la danse qu'on devra menée sera à notre désavantage..." Commença-t-elle à dire.

Elle eu une soupir désolé.

"Laissé ma presque soeur aux mains de ses brutes ne me rejouit guère, mais pour le moment nous ne pouvons tenter de libérer sans que nous risquions d'échouer. Et si nous perdons, il n'y aura pour elle plus aucun espoir..."

Yerel regarde Clesya, une lueur sauvage dans les yeux.

"Partez. Tous les quatre. Moi je reste ici et je la sors de là. Jamais je n'abandonnerais Sylna entre les mains d'un inquisiteur."

L'idée même lui est insupportable.

"C'est stupide! Tu vas te faire tuer pour rien!

"Il faut bien mourir un jour. Je ne la laisserais pas."

Ellana se mordit la lèvre devant l'entêtement de Yerel. En même temps, ils ne peuvent pas la laisser là!

- "Si vous ne partez pas avec nous, je reste aussi pour vous aider à la libérer!"

Elle regarda les autres.

- "Si nous nous échappons et pas elle, ils vont se venger sur elle. Elle n'as pas la même valeur que moi, qui suis fille de Seigneur. On ne peut pas lui faire ça!"

Elle jeta un regard suppliant aux autres.

- "Il doit y avoir un moyen... Il faut ruser, c'est tout."

Clesya leva les yeux au ciel tandis que Yerel prennait ces décisions à trois sous de cuivre. Il allait se faire tuer pour rien et ça, sa premère soeur ne lui pardonnerait pas.

Elle se plaça de telle façon à lui barrer la sortie de la tente.

"Vous me devez une dette de sang Yerel des terres humides. J'ai sauver votre loup et vous avez dit que vous aviez une dette de sang envers moi, vous même l'avez dit." Commença-t-elle.

Ca l'embêtait de se servir d'une dette de sang pour celà mais elle n'avait pas vraiment le choix.

"Je vous demande maintenant de me la rembourser en me suivant ou que j'aille jusqu'à que je vous délit de votre obligation." Dit-elle sévèrement mais quand elle vit qu'il réagit pas tout de sutie, elle ajouta: "Est-ce out l'honneur que vous avez? Que valent vos paroles si vous ne respectez pas une dette de sang?"

Yerel regarde Clesya un long moment, en proie a une rage aussi soudaine qu'intense.
En desespoir de cause, et parceque Clesya a raison quand elle dit qu'il doit tenir sa promesse, il invoque la flamme et le vide.
Sa rage retombe et ses pensées s'ordonnent.
Il jette sur l'aielle un regard froid, dénué d'émotion.

"Très bien. Je te suivrais comme ton ombre jeune fille. Mieux qu'elle."

Lyla leva les yeux au ciel, ces jeunesse prenait vraiment des decision à la légère... Avant que Lyla n'ouvre la bouche Clesya remit Yerel dans le droit chemin ... Mais autre chose c'était mélangé au depit , la rage .... Lyla tenta de les apaiser ...

- Ils ne peuvent pas la garder éternellement dans une tente , un jour ils seront assezz peu nombreux pour qu'elle soit delivrer ... Elle posa sa main sur le bras de Yerel :On ne leur la laissera pas , ne vous inquietes pas ...

"Si vous avez finis de palabrer il est temps de partir. Les loups ne retiendront guère longtemps les gardes Blancs Manteaux et s'ils nous tombe dessus..." Commença- Clesya laissant parlé la menace.

"Maintenant suivez moi." Ordonna-t-elle avant de sortir de la tente pour déambuler à tavers le camps, répérant les trajets optimal pour éviter qu'elles et ses protégés ne se fassent repérés...

Toujours envellopé du vide, Yerel ferme la marche du petit groupe. Bientôt, et sans un accroc, ils sortent du campement où regne toujours l'effervescence et commencent à s'enfoncer dans la forêt silencieusement.

"Frère, nous partons"

L'image de Flamme sauvage et les siens en train de s'enfoncer dans la nuit ne parvient même pas à le soulager. Néanmoins, il répond avec une image évoquant la gratitude et le souvenir du service rendue, celle de plusieurs cylces de lunes, de la même haine pour chasseur de l'ombre et d'une chasse commune contre les difformes a venir.

"Merci. Je paierais ma dette."

Pour seule réponse, le hurlement d'une dizaine de loups de l'autre côté du campement. Un dernier cadeau, qui attirera les blancs manteaux loin du petit groupe d'humains.
C'est au moment où, après un dernier regard vers le camp, il s'apprête à rejoindre les autres, s'étant arrêté pour parler à flamme sauvage qu'il perçoit une odeur qui le fait se hérisser. Aussitôt, son épée est dans sa main, et il rejoint les autres, les sens aux aguets.
La dernière fois qu'il a senti cette odeur, il a récolté une cicatrice et Ezechiel a failli mourir.
Sa posture change, il adopte celle dite du chat-traverse-la-cour, démarche caracteristique des liges et il se tient prêt à toute éventualité.

Les Enfants de la Lumière, une trentaines qui étaient resté au campement des Aes Sedai avec leur chef alors que les autres étaient directement rentrés aux campements. Gauvyn chevauchait en tête, le vents giflait son visage ou plutot le caressait du point de vue de Gauvyn ses pieds dans les étriers de Pinacles , il se sentait dans la plaine de Maredo et pas si loin au nord mais cette sensation fut vite contrarié au devant ,dans les bois, un groupe de voyageurs peu nombreux .

Il les distingue que peu mais en aperçoit un avec une épée au clair sont regard fixé sur lui il met Pinacles au trot tenant les rennes d'une main l'autre sur la garde de son épée ... Alors que la troupe s'arrête sur un signe de sa main, il dévisage l'homme qui se tiens devant lui puis son regard sur sa joue barré d'une cicatrice étrangement semblable a la sienne ... Alors que dans les bois , on ne distingue que peu les autre voyageur , il lui semble reconnaître le jeune homme qui avait été assommé et trois jeune femme une d'entre elle devait être Sylna ...

- La Roue tourne étrangement n'est ce pas Yerel ? Son regard se pose sur la femme qu'il croit être Sylna et dit :Vous avez beaucoup de chance de l'avoir avec vous … Beaucoup ...

Clesya resta un moment en arrêt prête à frapper le Blanc Manteau qui se tenait entre le groupe et la liberté. Elle hésita à le frapper quand il commença à s'adressa à Yerel comme à un vieil amis.

Elle regarda le frère des loups interrogativement. Devait-elle tuer l'homme ou le laisser en paix? Si elle le tuait les hommes derrière lui en prendrrait probabelemnt ombrage...

Une trentaine en dénombra-t-elle... celà ferait une belle danse c'est sur... mais mieux attendre de voir ce qui se passerait...

Yerel regarde le Blanc Manteau, incrédule. Ou est passé l'homme qui a essayé de le tuer sans autre forme de procés la dernière fois?
Heureusement, dans le vide, la surprise se dissipe très vite, et, ne sentant aucun menace dans l'odeur de l'homme, il se décide a regainer son arme, tres lentement.
Aux paroles du commandant, cependant, il hausse un sourcil. De quoi parle-t-il? Peu importe, en fait ils ne peuvent prendre le luxe de rester là plus longtemps, alors il acquiesce.

"Oui, j'ai de la chance. Mais je suis pressé. Si vous ne voulez pas reprendre les hostilités, alors que désirez-vous?"

Ellana retint un cri de surprise devant le Blanc-manteau. Et dire qu'ils avaient réussi à quitter le camp tranquillement, voilà qu'il leur tombait dessus. Ellana avait suivi les autres à contre coeur, se rangeant à leur logique... Mais elle ne se pardonnerait jamais d'avoir du abandonner Sylna. Et ce devait être pire pour Yerel. Celui-ci avait sorti puis rengainé son épée. Les deux hommes se jaugeaient du regard et instinctivement, Ellana vint trouver refuge près de Divril, se collant à lui.

Ils marchaient dans les sous bois Lyla devant juste derrière Clesya quand une troupe de Blanc Manteau , une bonne trentaine arriva par l'arrière et un homme se détacha regardant successivement Divril et Ellana et puis comble de l'horreur Elle ? L'avait il confondu avec quelqu'un d'autre vu la façon dont il parle a Yerel, il l'a sûrement pris pour Sylna ?

Logique petit gabarit les cheveux brun long , mais Lyla écarquilles les yeux quand son regard se fixe sur cette homme, lui aussi a des images qui tournent autour de lui, et étrange une cape blanche boueuse et surtout et étrangement comme pour Divril , de la souffrance , de la haine et encore de la Souffrance et la mort parsemait son avenir exactement comme Divril et tout comme lui la Gloire cet homme et ce gamin d'apprenti Lige se ressemblaient dans leur vision étrange ....

Divril sent la tension qui s'installe entre les deux hommes. Apparement, ils se connaissent. En tout cas le commandant des blancs manteaux a laissé ses hommes en arrière, ce qui est bon signe.
Ca n'empêche pas Ellana de se blottir contre lui. Avec un sourire aussi rassurant que simulé, il la serre contre lui et attend la suite.

Gauvyn se redressa sur sa selle et lacha lentement la poignée de son épée quand Yerel remit la sienne dans son fourreau . Il avait l'air perplexe, gauvyn regarda a nouveau leur groupe et son oeil se posa un instant sur Divril toujours avec cette sensation .

Puis, il dit a Yerel en jetant un regard a Lyla qu'il avait prit pour Sylna de loin :

- Yerel, faites attention qu'il n'arrive rien a cette demoiselle, si j'apprend qu'il est arrivé quelque chose a Sylna se sera plus qu'une cicatrice sur votre joue .

Gauvyn talonna son cheval suivi par ses soldats et galopa vers le campement arrivé là bas chaque soldat rentra dans une tente pour se laver Gauvyn partit mettre lui même Pinacles dans l'enclos . Puis revint au camp et vit le grand inquisiteur Toquemarda avec un enfant en retrait , un des trentes qu'il était présent lors de sa "discussion" avec Yerel . Et derrière une dizaine d'inquisiteur et d'Enfant de la Lumière , c'était mauvais présage ...

Tomàs était furieux son attitude ne le laissait pas deviner, au contraire il était plus aimable que jamais mais paraissait de plus en plus sur le point d'exploser. On venait seulement de lui annoncer la fuite des prisonniers mais il savait qu'il était surement trop tard pour les rattraper. Il avait tout de même envoyer des hommes a leurs recherche, l'un d'eux d'ailleurs était revenue avec une bien étrange nouvel.
Lorsqu'il vit son commandant approcher il l'acceuillit comme il se doit, c'est a dire en le faisant encercler par ses propres hommes. Il s'approcha et lui déclara d'une voix froide :

"- Gauwyn Deglaial vous étes au arréts pour haute trahison, vous étes aussi de votre titre de commandant et de vos priviléges, veuillez vous remettre vos armes.
Messieurs emparez vous de lui."