Où l'on passe le temps...

Un voyageur entre dans l'auberge de l'oeil du monde. Il est envelloppé dans une cape et semble avoir froid. Il a voyagé pendant des heures, harrassé avant d'apercevoir l'enseigne de l'auberge et en a ressenti un incroyable soulagement. "Enfin", a-t-il songé alors. "Après tout ce temps, enfin je vais pouvoir......"

***

Divril regarde l'étranger qui vient d'entrer avec attention. Voilà un individu des plus étranges. Le peu qu'il en devine derrière sa cape lui suffit pour en être convaincu.

Il échange un coup d'oeil avec Kron, l'aubergiste, qui commence à bien le connaître, et constate que même celui-ci semble mal à l'aise soudain.

Pour ne rien arranger, l'étranger se tourne alors vers le jeune lige et le dévisage pendant de longues secondes avant de soudain s'animer. Sa voix s'élève, puissante.

"Toi. Oui toi qui dissimulle ce que tu es aux yeux de tous. Tu es l'un d'eux! Sais-tu seulement pourquoi tu es là ici et maintenant?"

[***Mode modo on***

Petite précision sur l'auberge pour les nouveaux d'abord: N'importe quel persos peut y poster, où qu'il soit. C'est un lieu hors du temps et de l'espace, comme l'oeil du monde lui-même.

Ensuite, j'ouvre ce topic pour créer un peu d'animation hors scénario ou topic d'arrivée. Juste pour qu'on puisse tous jouer ensemble une fois, pour mieux nous connaitre. Comme dans un vrai jeu de rôle, les calculs prise de tête et la neccessité d'être au même endroit au même moment en moins.

Je vous avoue que je n'ai pas la moindre idée de qui est ce type ni de pourquoi Divril est ici là et maintenant. On verra bien où ça nous mène. J'aime jouer pour ceux qui ne le savent pas encore.

Je vais quand même poser quelques règles:

Primo: Un seul perso par joueur.

Deuzio: Je joue le Pn,j, si le créateur n'y voit pas d'inconvénient (au passage je prend tout le monde par surprise lui y compris avec ce topic).

Terzio: J'éxige expressemment que vous vous amusiez.

Et pour finir Quarto: N'ayez pas peur, je ne mord pas.

So, bon Rp

***Mode modo off***]

L'étranger fut vite suivit par un autre homme. Une haute silhouette appartenant à un mince jeune homme brun, aux yeux d'or. Yeux qu'il tient soigneusement baissés pour le moment, dissimulés derrières ses mèches brunes.

Il balaya la pièce du regard, non sans éprouver un certain malaise en voyant l'inconnu qui semblait planter devant lui. Agacé, Ezechiel le contourna et manqua sursauter quand la voix de l'homme s'éleva, accusatrice. Il crut d'abord qu'il s'adressait à lui, mais non. C'est alors qu'il apercut un visage familier. Visage qui appartenait à celui qui s'était ainsi attiré l'attention de l'homme étrange.

Un mince sourire éclaira le visage du Lige. Cependant, il était en alerte, alarmé par l'étrange comportement de l'inconnu à la cape.

Quelques minutes plus tard le battant se fait a nouveau entendre et ce fut une autre silhouette encapuchonnée qui pénètre dans la salle . enveloppé d'une cape de voyage brun noir , capuchon a demi rabattu sur le visage . Une épée plutot courte qui pende le long de la jambe que l'on entre aperçoit lors de certains mouvement .

L'homme va s'asseoir dans une table a l'ombre et regarde les autres occupant de la pièce . Des individus de tout part mais certain retiennent son attention, notamment deux . un petit pâle au cheveux brun , Divril . Il ressent toujours la même sensation pour le garçon , un mélange d'affection et de fraternité et un autre , aux yeux d'or , la dernière fois qu'ils se sont rencontré, Gauvyn avait planté son ancienne épée dans le corps de celui-ci .

Mais ce dernier ne ressent plus d'amertume envers Ezechiel et se contente de le regarder un instant avant de s'appuyer contre sa chose voyant pour la première fois l'homme debout encapuchonné . Etrange, enfin lui aussi est encapuchonné de la sorte .

il entre à son tour, une haute silhouette aux cheveux noircies couvrant à peine encore quelques mèches rouges et la peau halée, il porte non pas la shoufa mais une tunique à haut col qu'il regarde un peu surpris. il a l'air perdu comme il l'arbore souvent, mais la présence de ses lances le rassure visiblement

il jette un oeil alentour, à la pièce et l'aubergiste et cille d'etonnement, puis reprenant contenance il part s'asseoir un peu à l'ecart

Divril regarde l'homme, complétement interloqué par ces paroles.

C'est sur ces entrefait que trois autres voyageurs entrent à leur tour dans l'auberge. Et il est grandement soulagé en reconnaissant Ezechiel dans le premier des trois.

En tout cas, les trois arrivée lui laissent le temps de se reprendre et il parvient à regarder l'homme de l'air le plus placide possible et de lui répondre d'une voix séche:

"Oui, je sais pourquoi je suis là: Pour manger un repas correct, contrairement a celle que l'on sert à la tour Blanche. Maintenant, messire, et sauf votre respect, je viens d'apercevoir un ami à moi..."

Il se lève de son siège et se dirige, souriant vers le lige aux yeux d'or.

"Ezechiel, quelle bonne surprise. Que fais-tu..." commence-t-il.

***

Le personnage drapé dans sa cape regarde le lige sans que l'on puisse deviner quoique se soit de son expression. Néanmoins, a peine le jeune homme a-t-il commencé à s'adresser a l'homme aux yeux de bêtes que l'individu reprend, toujours de la même voix de stentor:

"Tu ne sais rien, pauvre enfant. Tu es ici pour la même raison qu'eux."

Il désigne les trois autres hommes et s'adresse désormais a tout ceux qui sont ici rassemblés:

"Vous êtes rassemblé pour entendre ce que j'ai à dire. Pour m'entendre et pour m'aider. Vous avez tout à y gagner."

Ezechiel sentit une odeur qu'il espérait bien ne jamais recroiser. Son regard doré se dirigea vers l'homme encapuchonné à qui elle appartenait. Le commandant des blancs manteaux à qui il devait désormais son statut de lige. Le regard des deux hommes se croisèrent. Nulle animosité dans celui de Gauvyn, de la méfiance dans celui d'Ezechiel.

L'autre homme est très grand et un coup d'oeil un peu plus appuyé permet de voir que ses cheveux bruns sont teints. Un grand roux... Un Aiel pouvait-il être présent ici?

Quoiqu'il en soit, l'exclamation de Divril le ramena au présent. Il ne termina pas sa phrase puisque l'homme étrange continua sur sa lancée et son délire. Le frère des loups soupira, tandis qu'un léger sourire moqueur se dessinait sur ses lèvres.

- "Un ami à toi?"

Gauvyn toujours appuyé contre sa chaise ne regarda qu'un instant Ezechiel avant de sourire en regardant un ... aiel teint en brun rentré dans l'auberger , l'air dans les nuages .

Puis, Gauvyn se sentant ridicule rabaissa son capuchon en arrière , ses yeux noir poli et ses cheveux sombre comme la nuit noire sur une peau légèrement basané . une fine cicatrice blanche lui barrait la joue tandis que 'lhomme encapuchonné commençait a déblaterer en montrant, Divril, Ezechiel, l'Aiele t lui ...

Citation :: Vous avez tout à y gagner

"Mais toi, tu as perdu une occasion de te taire .Va donc cuver ta vinasse ailleur avant de t attirer des ennuis ."

si vous pensez que nous étions destiné à venir ici, pour vous aider, c'est que vous nous y avez conviés

il lève un doigt, énumérant ses impressions

or je, et les autres de même à ce que je suppose, je ne vous connais pas, rien d'autre que le hasard m'a mené ici du moins personne ne m'y a invité

il lève un second doigt

ce qui laisse à croire que nous avons été mené ici par un moyen, inhabituel

il lève un troisième doigt, puis l'air songeur il referme le poing là où se trouverait le voile de sa shoufa si il la portait

la question est de savoir comment vous nous avez conduit en ce lieu

il a un rire glacial

ou si l'ivresse ne vous fait pas délirer

il regarde alors les autres, les jaugeant avec méthode, pesés et mesurés

Divril écoute la nouvelle tirade de l'homme, ébahi, avant de regarder Ezechiel, l'air attéré.

"Non, pas le moins du monde c'est la première fois que je le vois. Je... "

Il regarde l'homme, prenant conscience de ses paroles d'un seul coup.

"Tout a y gagner? Ca m'etonnerait. Ecoutez, je ne veux pas paraître impoli, mais je crois que vous devriez vous calmer. Peut-être aller dormir. Je peux vous payer un repas et une chambre..."

***

L'homme regarde Divril un instant avant de partir d'un rire moqueur. Un rire qui dure longtemps, un rire qui donne la chaire de poule a ceux qui l'entendent.

"Je n'ai pas besoin de ta charité, petit. Oh non, je n'en ai pas besoin."

Il regarde les autres tour à tour.

"Et je ne suis pas ivre, tenez-vous le pour dit. Des preuves?"

Il les désigne du doigt un à un. Un doig long, décharné

"Une créature au visage d'homme et au coeur de loup. Un ancien blanc manteaux deux fois damné. Un aiel qui rêve des terres humides. Et enfin un Lige qui joue à l'Apprenti."

Il s'intérrompt un instant avant de reprendre:

"Je suis sérieux messieurs. J'ai besoin de vous. Et vous pouvez gagner beaucoup. Connaissez-vous Shadar Logoth? Savez-vous ce qu'est l'Attente-de-l'ombre?"

Le visage de Gauvyn se renfrogna aux dire de l'homme encapé et en quelque pas se retrouva a coté de celui ci tirant une chaise et le forçant a s'asseoir . Il tira lui même une chaise et s'assit et fixa l'homme, les bras croisé et vérifia que le Saidin était toujours accessible et déclara :

"Parlez vite et bien . mettez vos main en evidence et faiets un geste suspect et vous baignerez dans votre sang avant d'avoir compris ce qui se passe ."

Les yeux d'onyx de Gauvyn se tournèrent un instant vers les deux autres pour els inviter a s'asseoir et fit un léger sourire a Divril .

Ezechiel avait toujours son petit sourire en coin quand Divril lui répondit, avant de parler à l'homme. Celui-ci éclata de rire, un rire qui fit courir un frisson le long de l'échine du lige. Son sourire disparut quand l'homme le désigna comme un être au visage d'homme et au coeur de loup.

La réaction du Blanc Manteaux fut plus spéctaculaire et avant que qui que ce soit ait pu esquissé le moindre geste, il se retrouvait assis avec l'homme, menaçant. Deux fois damnés hein? Il regarda Divril, haussant un sourcil. Un Lige qui se prend pour un apprenti. Qu'est ce que c'était que cette histoire?

Mais son attention fut attirée par les dernières paroles de l'homme. Shadar Logoth... Ce nom évoquait quelque chose dans l'esprit d'Ezechiel, sans qu'il puisse mettre le doigt dessus. Il croisa le regard noir de Gauvyn. Il était toujours méfiant vis à vis de lui. Cependant, il fit ce que Gauvyn attendait de lui et prit donc place autour de la table. Ses yeux d'or étaient plantés dans ceux de l'inconnu, farouches et menaçants.

on aurait pu croire que de voir nommée ses éspérances l'eut désarçonné, il semble pourtant se détendre, et même se relacher complètement. il s'assied alors parmi les autres avec la plus grande indifférence son visage inexpressif

je n'ai jamais marché jusque ce lieu, j'en sais assez pour savoir que je ne suis pas sur que m'y rendre puisse être sage, et assez peu pour n'en connaitre que des rumeurs. Cependant, eux ont l'air plus au fait que je ne le suis il désigne d'un vague regard ses compagnons et votre existence semble tenir juste au fil de vos propos. sachez donc que je serais de ceux qui danseraient des lances s'il s'avérait que vous ne me seyiez pas, ou du moins à vous laisser à ceux ci

il avait prononcé ses mots comme d'autre parleraient de la couleur du ciel, avec une désinvolture qui à bien y regarder n'est que feinte tant dans son allure que dans ses propos

Divril s'asseoit à son tour, de plus en plus mal à l'aise.Comment cet... homme a-t-il pu savoir que....

Il jette un coup d'oeil géné a Ezechiel, priant pour que celui-ci n'ait pas attaché trop d'importan à ça, avant de reinteresser à l'homme.

"Shadar Logoth? C'est de l'ancienne Langue il me semble.Et oui, ça doit vouloir dire quelque chose comme l'attente de l'ombre. Mais à part ça..."

Il devient dur.

Que nous voulez-vous?

***

Il rit. Longuement, intensément. Il rit lorsque le blanc manteaux le force à s'asseoir, et il rit lorsque les autres le menacent.

Et bien on dirait que je vous ai touché, hein? Suis-je toujours un fou? Messieurs, je ne suis pas un danger pour vous. Je cherche seulement à vous offrir une opportunité.

Il se fait distant.

"Shadar Logoth. Ou Arhidol. Une ville maudite, cent fois, mille fois. Une ville que même les séides de l'ombre craignent."

Il rit, une nouvelle fois.

"Une ville où j'ai vécu une histoire étrange. Une histoire qui, indirectemment, vous concerne tous."

Son regard passe sur les quatres hommes les uns après les autres

"Mais je ne vous raconterez cette histoire qu'en échange d'une promesse. Je veux que vous gardiez pour vous ce que je vous revelerais ce soir. Si vous devez en parler, ce sera entre vous, et entre vous seulement."

La voix est sérieuse comme la mort. Le silence qui succède à la tirade est... glacial.

Gauvyn regarda l'homme dans le fond du capuchon un instant avant de murmurer en regardant la table, l'air penseur et se mit a parler en Ancienne Langue :

"Shadar Logoth, la Ville du Mal, la Ville des Morts . Qui serais assez fou pour aller dans Aridhol .

Gauvyn arrete de parler en Ancienne Langue et regarde l'homme encapé avant de lui dire :

" Je n'ai aucune promesse a vous faire . Mais vu que vous etes assez fou pour ne rien nous idre si on ne jure pas . Je vous jure sur mon Ame de ne pas réveler le secret de cette conversation . Enlevez votre capuchon je vous pries ."

Gauvyn se fiche de l'histoire de ce curieux personnage mais si cet homme c'est qu'il est l'Ancien Commandeur des Enfants et qu'il est deux fois Damné comme il dit alors ecoutons le .

il hausse les épaules

une promesse qui ne me coûte rien puisque je n'ai d'interlocuteur à qui faire part de vos mots en dehors de ceux présents ici...si même je devais leur parler à nouveau

Ezechiel capta le coup d'oeil de Divril et un petit sourire recourba le coin de sa bouche. Il était curieux d'interroger l'adolescent à ce sujet... L'homme reprit la parole, s'attirant l'attention d'Ezechiel, qui pourtant, n'en montra rien. Il prit un air ennuyé, avant de lâcher, flegmatique :

- "De toute façon, je n'ai rien de mieux à faire, alors autant écouter votre récit."

C'est alors que Gauvyn murmura quelque chose dans l'ancienne langue, s'attirant un regard surpris de la part du Lige. Il reporta son attention sur l'homme.

- "Si cela peut vous faire plaisir. Je ne dirais rien, vous avez ma parole."

Il esquissa un sourire.

Divril hésite à donner sa parole. Quelque chose dans la voix de l'homme le pousse à accepter, mais l'idée de cacher quelque chose à Ellana lui est presque intolérable.

Néanmoins, et puisque tous les autres ont jurés, il se décide à faire de même.Après tout, Ezechiel est lui aussi un Lige...

"Bien, je vous donne ma parole moi aussi. Personne n'entendra un mot de ma bouche sur ce que vous nous direz."

Il sourit, mettant toute l'assurance dont il est capable dans ce sourire.

"Et maintenant que vous êtes content, pouvons savoir ce que vous avez à dire?"

***

Il regarde le blanc manteaux, amusé.

"Qui serait assez fou? Ah mais parfois mon ami, le choix ne vous ai pas donné. Croyez-vous que j'aurais pu entrer dans cette cité maudite de mon plein gré? Non, cent fois non."

Il rit un bref instant, avant de rejeter en arrière son capuchon. Contrairement à ce qu'on aurait pu croire, il n'y a rien de bien... extraordinaire dans ce visage. A part peut-être un détail. Ce visage, il est connu de trois d'entre eux. Car c'est celui de feu Carrick Gaidin.

"Satisafait commandant? Mais ne croyez pas ce que vos yeux vois. Ce visage n'est pas le mien. Je l'ai... emprunté à l'un des damnés que j'ai croisé. Car voyez-vous, c'est là que réside le point essentiel de mon histoire. J'ai un Talent. Un Talent unique dans les annales. Je peux parler aux morts."

Il sourit, un sourire étrange sur le visage de Carrik.

"Non, je ne suis pas fou, contrairement a ce que vous pensez. Je parle bien aux morts. C'est un tissage d'Esprit très complexe."

Il rit avant de regarder un à un les quatre hommes, s'attardant plus particuliérement sur le Blanc Manteaux et sur le jeune Lige.

"Car oui, messieurs, je canalise."

Ezechiel eut un léger mouvement de recul en voyant le visage de l'homme. Impossible... Carrick Gaidin était mort, Ezechiel l'avait vu de ses propres yeux. L'homme finit par donner une explication à ce fait et le jeune homme se hérissa. Parler aux morts... mais surtout cela impliquait qu'il pouvait canaliser... Ce qu'il confirma juste après. Oh Lumière... Dans quoi s'était-il embarqué? Il devrait tuer cet homme purement et simplement.

- "Etes-vous donc si sûr de vous pour clamer ainsi cela?"

Ezechiel se pencha sur la table.

- "Je devrais vous tuer sur le champ... Ou du moins prévenir ceux qui sauront vous arrêter. Donnez-moi une bonne raison de ne rien en faire?"

Parler au mort ? De la nécromantie ? Carrik Gaidin ? Un homma haissable ... Canaliser ... Gauvyn écarquilla els yeux et se rua sur le Saidin s'emplissa de ce flot de glace et de feu qui menaçait de le consummé le domptant, le domestiquant comme a chaque fois maintenant . mais toujours cette Souillure, cette arrière gout qui donne envie de vomir .

Le tissage d'esprit, il le voit mais compliqué, trop compliqué pour le peu que Gauvyn savait faire avec de l'esprit . Il regarde Ezechiel un instant avant de lui dire en le fixant de ses yeux noir :

" Prévenez qui que ce soit et c'est moi qui vous tuerais et votre épée n'y changeras rien ."

Toujours aussi calme et empli du Saidin et dans le Vide, la voix de Gauvyn neutre et impassible, son visage qui ne bouge pas avant de déclaré :

"Alors qu'avez vous vu a Aridhol qui nous concerne ?"

Il regardait l'homme légèrement pensif, il le croyait, il le sentait cet homme pouvait canaliser, il aurait du le voir du début .

les morts ne devraient pas être dérangés... ils disparaissent pour ne pas nous encombrer et nous disparaissons à notre tour... quel besoin avez vous de parlez aux morts...ou de leur voler leur identité...

il a un air dégouté, comme s'il parlait à la plus abjecte "chose" que l'on puisse imaginer

Saira entrouvre la porte et passe la tête. Après un regard circulaire, elle rentre aussi silencieusement que le permette des sabots en bois et sa mise de servante.
Elle se dirige vers le bar et s'adresse au barman.

"Bonjour, messire, pourriez vous me servir quelque chose de fort, je vous prie"

Elle se tourne vers les autre personnes présentes et leur fait une révérence, rouge comme une pivoine

Gauvyn toujours remplit du Saidin près a ecraser cette homme au moindre signe , il arrive a distinguer a peu près la force de l'homme , pas plus fort que lui mais qui sait ? Il fallait etre prudent et il fallait faire parler cette homme . Un bruit fit retourner Gauvyn qui rencontra le regard d'une frêle jeune , il l'a regarda de ses yeux noir comme deux vrilles avant de lui faire un signe de tête poli .

Il reporta son regard sur l'homme et attendit que celui-ci repondent, les sourcil froncé . Il passa une main dans ses cheveux d'ébène et sur son visage pâle avant de se rendre compte qu'il ne suait pas, ni n'avait froid et remercia Asin'sia mentalement pour cette astuce .

/Mode Modo Derrick : Ce Rp se déroule avant ta nomination au titre de Novice, ce qui t'a donc permis de quitter la Tour pour te rendre dans cette auberge qui est partout et nulle part . Dans ce rp , tu es donc toujours une servante pour justifier ta presence en ces lieu .

[HJ:Entendu.]
La jeune fille s'avance dans la salle et se trouve une place en retrait, elle porte dans un fin baton recouvert de métal dont elle se sert comme baton de marche elle prends sa consomation et se recule timidement dans un coin de la salle.
Ses yeux passent d'une personnes a l'autre.
Elle s'attendais a boire un verre tranquille mais, la tension dans la salle est presque palpable. Elle ressere instictivement sa main su le baton

/Modo Rick Hunter : Trois lignes complètes minimun pour un message . (Essaye de dévellopper la description ou de t infiltrer . )

Divril regarde l'homme, complétement interloqué. C'est bien le visage de Carrik qu'il a sous les yeux, mais rien d'autre. Aucune trace de cette lueur sévère mais bienveillante dans ce regard, aucun point commun entre feu le Maître d'armes de la Tour et son sourire bonhomme et cette... chose au rictus pervers.

Le Lige secoue la tête et pose une main sur son arme, prêt à tout...

***

L'homme note le changement d'attitude du petit groupe et se tourne vers le Gaidin aux yeux d'or.

Une bonne raison de garder le silence? Tu as fait une promesse Ezechiel Gaidin. N'est-ce pas suffisant pour toi? Quand à te donner une raison de ne pas me tuer... Soit, une leçon s'impose...

Une seule personne dans cette pièce (encore que) peut se rendre compte de ce que fait l'homme alors: Il s'ouvre à la vraie source, accueillant le Saidin en lui, s'y abreuvant encore et encore avant de tisser des fluxs d'air qu'il projette droit sur le frère des loups.

Aussitôt celui-ci est ejecté à travers la pièce, s'ecrasant contre un mur. Mais l'homme n'en a pas fini. Au contraire.

Il ne laisse pas au Lige le temps de se relever et l'enferme dans un cocon d'air, le maintenant à plusieurs pieds au dessus du sol.

Alors l'homme rit.

"La prochaine fois que l'un de vous me menace, pauvres fous, je vous tue tous. Je ne suis pas venu pour me battre où pour vous menacer. Je ne suis pas votre ennemi, loin de là même. Je veux juste votre attention.

Il se tourne soudain vers la jeune femme qui vient de les rejoindre.

"Et ça vaut pour toi, petite fille. Tu peux te cacher des Aes Sedais, mais pas de moi. Je connais ton secret. Et tu es venue entendre le mien."

Une nouvelle fois il rit.

"Puis-je enfin parler, ou voulez-vous vous battre? Ou plutôt vous faire battre?"

Gauvyn toujours aussi impassible regarde le Lige s'envoler avec un léger sourire , les Tissage de l'homme n'était pas bien complexe, il a juste projeter Ezechiel dans les air et l'enferme dans une cage aud essus du sol . Gauvyn soupire et réflechit avant de tisser un Flux d'Esprit et d'Air et s'y reprend a plusieur fois avant de sectioner le "cocon" qui retiens Ezechiel qui chute lourdement a terre .

Gauvyn s'entoure rapidement d'un flux d'air épais comme bouclier et ne le noue pas et le laisse lentement filer pour montrer a l'homme qu'il ne luiveut aucun mal . Il s'écarte et tire une chaise pour Saira et lui lâche séchement :

"Assis toi ici gamine ."

Il se tourne vers l'homme au très de Carrik et ajoute:

"Vous n'avez besoin de maltraiter aucun d'entre nous, le Gaidin aux yeux d'Or a compris, racontez nous votre histoire , cela m'interesse. Vraiment .Et je suis sur qu'aucun d'entre nous ne veut se batre avec vous n'est ce pas .

Il passe un rapide coup d'oeil noir sur les gens attablés avant de faire sourire réconfortant a Saira et de revenir sur l'homme encagoulé .

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