[Faux Dragon] Au Shienar

La brume se lève sur le camp… une brume qui devient de plus en dense jusqu’à que plus personne n’arrivent à distinguer quoique se soit à plus de quelques pas devant eux.
Le paysage en est devenu inquiétant, et le silence qui est soudain tombé sur le monde telle une chape de plombs ne l’est pas moins. Au loin on entend une poignée de loups hurler, ces hurlements ne sont pas plein de fureurs mais apeurés…
On entend soudain une première exclamation de surprise à la périphérie du camp, qui se change bientôt en cris de douleur. Le silence retombe pendant quelques instants, comme si le monde entier était plongé dans la stupeur et dans l’attente.
Puis une clameur s’élève, on entend des appels aux armes et des bruits de luttes qui viennent d’un peu partout.

Geoline Terun (camp As)

Malgré la bulle former par le pouvoir autour du feu de camps, vous avez sentis que quelque chose d’étrange se passait. Une impression de souillure telle que vous n’avez jamais ressentis auparavant. Vous vous êtes inquiétez en voyant la brume envahir le camp mais maintenant vous avez peur.
Soudain le feu devant vous semble grossir… grossir… prendre en puissance jusqu’à devenir un énorme brasier. Vous vous rendez compte avec stupeur que le feu prend figure humaine, avec deux jambes, deux bras, un semblant de corps et une tête…
Vous n’avez pas le temps de réagir que déjà ce feu humanoïde s’anime et attrape une sœur en allongeant un bras. La robe de celle-ci se met à brûler sous la poigne de feu et la sœur hurle tandis que le brasier la ramène et la fait disparaître dans son corps de flamme.
Un autre bras projette une autre sœurs au loin… les cris de celle-ci s’éteignent quand elle passe la barrière invisible du tissage que vous avez dressé pour ne pas être espionné.

Téora et Ezechiel. (camp As)

Vous êtes plongés dans votre univers où rien ne compte à part vous deux. Le tissage dresser autour de votre tente ne vous a pas permis d’entendre les clameurs qui s’élèvent du camp. Mais la sensation de souillure vous fait arrêter brusquement vos ébats.
Pas le temps de réfléchir à ce qui se passe que déjà votre couche où êtes tout les deux allongés s’élève dans les airs, ainsi que le mobilier sommaire sous le tente.
La couche se retourne vous envoyant au sol tandis qu’un coffre à vêtement assez lourd pour être transporté que par deux hommes fonce sur vous. Aucun de vous deux n’a le temps de penser ou de faire autre chose que de sauter pour l’esquiver. Mais trop tard dans le cas de Téora qui violement percuter sur le côté et projeter contre une des paroi de la tente et finalement s’écroule, nue à même le sols sans connaissance.
Ezechiel tu ressens sa douleur, tu voudrait bien te porter à son secours, mais une torche se dressent soudain devant toi comme si quelqu’un la tenait en main mais il n’y a personne… tu cherche ton épée des yeux… elle se encore au fourreau à tes pieds.

Mylandha et Saralia (camp aiel)

Vous êtes toutes les deux dans le Ter’aran’rhiod mais Malyndha tu ressens un urgence à en sortir, une sorte de mauvais pressentiment mais tellement tenace que tu ne peux faire autrement que de l’écouter. Tu empoignes vivement Saralia pour la sortir du rêve en même que toi.
Saralia à peine réveillée tu ressens la souillure tellement fort que tu te mets à vomir et tu ne te rends même pas compte de ce que Malyndha est en train de voir.
La tente dans laquelle vous étiez s’est enflammée, sûrement à cause d’une chandelle qui s’est reversée. Par l’ouverture de la tente vous apercevez qu’une brume épaisse qui semble se rassembler en blocs plus ou moins compacte. Vous regardez avec stupéfaction ses blocs en silhouettes vaguement humanoïdes, au bras si long qu’il touche quasiment le sol.
Ce spectacle est tellement terrifiant que vous vous demandez si ce ne serait pas préférable pour vous de rester dans cette tente en flamme…

Torak, Oren et Khaul (camp aiel)

Sur le camp aiel la brume s’est peu à peu muer en une armée de monstres de brumes. Vous êtes habitué aux dangers et aux combats, mais cette chose est terrifiante. Vous entendez des hurlements dans tout le camp et des bruits de luttes tout autour de vous. Vous savez donc que vos compatriotes se battent déjà contre ses choses contre nature.
Une demi douzaine de ceux-ci vous encerclent tous les trois. Vous avez vos lances sorties et heureusement car quand l’un de ses montres étends ses bras gigantesque vers Oren pour le frapper, ils arrivent à parer le coup de justesse. Vous comprenez alors que ces guerriers de brumes sont aussi solides que la pierre…

Nathaniel et Elmalia (camp As)

Vous prêt au combat dès les premiers hurlements. Si vous avez tous les deux peurs de ce qui arrivent, surtout en sentant cette souillure insupportable qui semblent s’être installée dans le camp, vous êtes tout de même déterminé à porter assistance. Vous vous apprêtez donc à sortir Elmalia pousse un crie apeuré. Nathaniel se retourne vers elle et aperçoit ce qu’elle a vu… du grand miroir situé au fond de la tente s’échappe le reflet de l’Aes Sedai… elle se ressemble traits pour traits mais Nathaniel n’a pas vue le plus terrifiant, car seule Elmalia peut le voir : son reflet a lui aussi accès à la Saidar.

Nelian et Eril (camp As)

Vous avez tout entendu depuis le début, tout suivis depuis l’apparition de la brume au dehors. Vous êtes dans la tente Nelian. Vous êtes inquiets car vous savez que ce qui se passe à cet instant n’est absolument pas normal.
Quand les premiers hurlements se font entendre, vous savez qu’il s’agit d’une attaque mais vous n’en connaissez pas la nature. Vous vous préparez au combat, saisissant la Saidar pour l’une, dégainant son épée pour l’autre. Vous préparez à sortir lutter ce qui se trouve au dehors, mais alors que Eril s’apprête à sortir pour préparer la voie à son Aes Sedai il se rend compte que la toile de tente s’est transformée en une matière encore plus dure que la pierre !
A peine vous vous en rendez compte que les murs commence à rapprocher.. dans un silence terrifiant…

Elmalia se préparait à dormir quand elle sentit l'atmosphère du camp changer. Ce fut d'abord imperceptible, mais bientôt un sentiment de souillure vint peser sur l'esprit de l'Aes Sedai. Presque au même moment, des hurlements se firent entendre un peu partout dans le camp. Elmalia se leva d'un bond, prête à combattre et lança à Nathaniel :

"Tiens-toi prêt ! Quelque chose approche ! Je ne sais..."

Ses paroles s'arrêtèrent brusquement. Son reflet venait de sortir du miroir qui lui faisait face. Estomaquée, Elmalia mit une seconde de trop à réagir et le reflet s'entoura immédaitement d'un halo lumineux qu'elle seule pouvait voir, témoin du fait que son double venait de s'ouvrir à la Saidar. Elle s'ouvrit à son tour à la Vraie Source, mais sa second de retard permit à son adversaire de tisser des flux d'Air qui dardèrent en direction d'Elmalia. Elle parvint à les couper de justesse par des flux de Terre tissés à la va-vite et riposta aussitôt Mais son reflet semblait pressentir ses attaques et les déjouait toutes les unes après les autres, tandis que l'Aes sedai peinait de plus en plus à repousser celles de son double.

Alors qu'il vient de finir sa phrase, Torak se rend compte que la brume s'est levée. Mais celle-ci n'est pas ordinaire. elle semble soudain s'agglomérer en plusieur blocs qui prennent des formes vaguement humanoides aux bras disproportionnés.
Les créatures, de plus en plus nombreuses, commencent bien vite à se diriger vers les aiels présents. Instantennement, cer derniers (Torak compris) sont voilés et leurs lances sont dans leurs mains. Et la danse commence.

Mylandha se réveille en sursaut, les vêtements trempés de sueur. Elle a chaud, et à la fois un sentiment glacial lui serre l'estomac. Elle ne réfléchit pas, n'analyse pas la situation comme elle a l'habitude de le faire et se lève d'un bond pour aller jusqu' à la couche de Saralia. Elle secoue énergiquement la jeune fille pour la réveiller en criant d'une voix paniquée:

" Saralia, debout! Réveille-toi tout de suite!"

Son regard se pose alors dans un coin de la tente et elle comprend la raison de cette chaleur: la tente est en train de prendre feu.

Téora avait ressentit la souillure, mais trop tard. Plongé qu'elle était dans ses ébats avec Ezechiel, elle n'avait pas fait attention et n'eu guèr le loisir de se le reprocher quand la couche sur laquelle il était allongés s'éleva dans les airs en même temps que tous les objets qui n'était pas fixés au sol.

Le reste ne se passa trop rapidement pour faire autrre chose que réagir à l'instinct. Leur couche se retrouna, l'envoyant sans ménagement au sol .

Elle tenta de saisir la Saidar, mais encore une fois le temps lui manqua quand le coffre se jeta sur elle. Téora tenta bien de sauter sur le côté pour l'éviter, mais trop tard.

Une vive douleur enflamma tout son côté tandis que le choc la projetait contre la paroie de la tente.

Le reste ne fut qu'obscurité...

Ezechiel ne capta le danger que trop tard, bien trop tard. Au moment où il relève la tête, soudain prit de malaise, la couche se soulève et finit par les envoyer valser tous les deux au sol, assez brutalement. Il n'eut que le temps d'esquiver le coffre avant que n'explose la douleur dans son flanc... Il eut un moment de confusion, légèrement étourdi. Il avait évité l'objet non? Soudain, son coeur manqua un battement. Téora! Son regard se porta sur elle, nue et inconsciente.

Il voulut la rejoindre, mais en fut empêché par une torche... Pas d'homme, juste une torche.

*Qu'est-ce que c'est que ce maléfice?*

Son épée n'est pas loin, mais il garde un oeil sur la torche. Comment abattre un adversaire invisible... ou même simplement une torche? Alors un éclair blanc fit son apparition et se lança sur la torche, voulant la saisir entre ses crocs. Ezechiel n'hésita pas et se jeta sur son épée qu'il sortit rapidement de son fourreau, tout en tentant de rejoindre Téora. Il avait vaguement conscience qu'il devait être ridicule, nu avec son épée.

- "Téora!"

Il fallait qu'elle se réveille!

Téora eu brève période de conscience alors qu'Ezechiel hurlait son nom, et la douleur alla de pair avec ce reveil.

Elle ouvrit les yeux pour voir Ezechiel qui se précipitait vers elle et voulu lui parler mais le moindre effort provoquait une douleur insoutenable au niveau de ses côtes.

Puis elle sombra de nouveau dans les ténèbres..

Secouée comme un prûnier, Saralia se reveille bien vite.
Néanmoins, à peine a-t-elle pris conscience qu'elle n'est plus dans le rêve qu'elle ressent comme une . . . souillure qui la prend à la gorge. Et elle n'a que le temps de se dégager de Mylandha avant de se mettre à vomir, submergée par ce mal à l'état pur.

Mylandha s'écarte vivement de Saralia au moment où celle-ci va vider son estomac sur le sol. Elle se lève, la tête embrumée, et se fige sur place en aperçevant au-dehors un étrange brouillard, au ras du sol, qui bouge de façon plusque suspecte. Mylandha recule, terrifiée comme elle l'a été rarement dans toute sa vie. Elle oublie un instant le feu qui dévore la tente et Saralia qui vomit pour contempler la brume d'un air effaré. En effet, celle-ci commence à prendre forme humaine -si tant est que cela puisse avoir quoi que ce soit d'humain- et semble encercler la tente. Mylandha essaye de se répéter qu'elle est encore dans le Tel'aran'rhiod et qu'elle va se réveiller mais c'est inutile. Elles ont le choix de se laisser dévorer par les flammes ou de sortir affronter ces... "choses". Elle ne pensait pas avoir un jour le choix de sa mort de façon aussi nette.

Le choix est vite fait. Dehors au moins elle aura une chance de s'en sortir et de protéger Saralia qui vomit encore. Elle attrape la jeune fille par le bras et la pousse hors de la tente au moment où celle-ci s'embrase. Elles se retrouvent face à face avec les ombres. Mylandha saisit aussitôt la Vraie Source et la première "chose" qui va les attraper s'enflamme comme leur tente. Profitant d'une seconde de répit, elle crie à Saralia:

" Reste derrière moi! Dès qu'il y a une ouverture, fuis le plus loin possible!"

Ordre inutile pour l'instant, elles sont encerclées.

Eril n'a même pas le temps de lui répondre:
Un hurlement déchire le silence de la nuit, suivi par un autre, et encore un autre.
C'est plus qu'il n'en faut pour Nelian qui dès le premier cri s'est ouverte à la source, alors même que l'épée de son lige jaillissait de son fourreau.
Seulement lorsqu'ils essayent de sortir, ils se rendent compte que la tente à chagée. Elle n'est plus en toile, mais dans une matière aussi sombre que dure. Elrin frappe de son arme, mais sans effet.
Alors Nélian se met à tisser. Elle tisse d'abord le feu, à partir des bougies, augmentant leurs flammes et les projettant vers
les parois. Inutile.
Elle tisse ensuite l'air, une tempête qu'elle déchaîne vers le plafond, espérant soulevant ce que la tente est devenue. Peine perdue, la . . . boîte eqst solidment ancrée.
Pire, constate soudain Nelian avec horreur, elle est en train de rétrécir. . .

Nathaniel fut estomaqué lorsque le reflet pris vie; il ne prit pourtant pas la peine de réfléchir. Il ramassa une couverture par terre et la lança a la tête de la...créature, dégainant sa lame il contourna le reflet et donna un coup d'estoc a travers la couverture.

"Tiens bon je vais la retenir"

*Pourquoi faut il que ce soit son reflet, sang et sacré cendres*

Eril ne voi rien se passer mais il sait que Nelian lance tout le pouvoir qu'elle possède sur les murs qui se referment sur eux.

Avec horreur rien ne se passe, comme si ces murs étaient insensible au pouvoir. Il essaeya alors son épée sur les paroie mais sans plus de résultat.

C'était vraiment la pire des choses qui puisse lui arriver! Nelian allait mourir et il serait présent sans rien pouvoir faire!

De dépis il planta son épée dans le sol et celle-ci s'enfonça. Et il su ce qui falalit faire, ce qui allait les sauver.

"Nelian creuse un trou! Nous nous y réfugirons!"

Ezechiel la sentit qui se réveillait en même temps que la douleur à son flanc se rappelait à son bon souvenir. Il serra les dents, mais elle replongea à nouveau dans l'inconscience. Quel idiot! Il n'avait pas su la protéger et maintenant, ils en payaient le prix! Une distraction qui allait leur coûter cher!

Soudain, la torche se dirigea à tout allure vers lui et il n'eut que le temps de la bloquer. Murmure ne pouvait rien faire.

- Essaie de la réveiller !

- Mais comment?

- J'en sais rien!

A nouveau, il para le coup. Il devait couper le bout enflammé... Après, il aviserait. Comment tuer un objet inanimé? Téora le saurait peut-être...

Murmure bondit vers le jeune femme et commença à lui lécher le visage, à lui mordiller les poignets pour qu'elle revienne à elle.

Lorsque le monstre de brume l'attaqua Oren le para de justesse en profitant pour essayer de l'atteindre avec la lance qu'il faisait tournoyer dans sa main. La lance rencontra au grand étonnement d'oren un matériaux aussi dur que la pierre. D'un petit bond il recula et se drapa de sa shoufa, il se mit dos a dos avec les deux autres aïels.
Il dit avec un air grave

"ce n'est quand même pas un peu d'eau qui va tuer un aïel"

Au cri de Eril, nélian tisse un flux d'air et de terre qui dégage un large espace dans le sol.
cela fait, ils s'y réfugie tout deux, tandis qu'elle tisse l'air de nouveau, cette fois pour créer une bulle leur permettant de respirer.
Pour la suite, elle prie le Créateur que celà suffise.

Téora se réveille une nouvelle fois et émet un râle de souffrance. Elle voudrait se rendormir pour échapper à la douleur et parce qu'elle se sent si lasse...

Mais murmure l'en empêche en lui léchant le visage et les mains.

Elle peine à ouvrir les yeux et quand elle le fait elle n'y voit guère, car sa vision est trouble. Cependant elle distingue Ezechiel en prise avec une torche...

Elle doit s'y reprendre a plusieur fois avant d'être en mesure de s'emparer de la saidar. Le contact avec cette dernière parvient de la soulager un peu de la douleur, mais pas de la fatigue qu'elle ressent.

Elle n'a pas le temps de tisser ses flux avec précision, aussi quand des trombes d'eau tmbes elles asperges autant Ezechiel que la torche.

Téora n'a pas le temps de voir les effets de son canalisage car le néant la reprend aussitôt en son sein..

Refugiée derrière Mylandha, Saralia assiste a la lutte desépérée des aiels pour leur survie. Les "hommes de brûmes" semblent jaillir de partout, et même Mylandha, qui baigne dans la vraie source, a du mal a repousser leurs assauts.
Soudain Saralia s'avise qu'elle aussi sait canaliser. "De toutes façons", pense-t-elle en s'ouvrant à la source, "Ca ne pourras pas être pire. . . "

A nouveau, il sentit Téora émerger. Mais cette fois, elle eut le temps d'intervenir avant de sombrer dans l'inconscience à nouveau. En moins d'une minute, le jeune homme se retrouva trempé, et la torche avec. Elle tomba au sol sous le poids de l'eau.

- Murmure, prends la torche et débarasse-t-en!

Le loup s'exécuta et fila dehoirs avec la torche dans la gueule. Espérant que cela serait suffisant, Ezechiel se fit violence, pour ne pas de précipiter vers Téora et s'habilla en 4e vitesse. Enfin, il prit la robe de la jeune femme et avec un luxe de précaution, il la lui enfila. Au moins serait-ils présentables maintenant. Ses cheveux étaient trempés par la petite averse. Si Téora n'avait pas été si mal-en-point, il l'aurait taquiné. Il la secoua doucement.

- "S'il te plaît, ma douce... Emerge..."

Il se mordit la lèvre, hésitant. Il lui fallait trouver une Aes Sedaï pour la soigner, mais il ne pouvait sortir au risque de se faire attaquer avec son précieux fardeau dans les bras. Mais il était inconcevable de la laisser seule ici. Si seulement, elle pouvait se réveiller! Et si seulement, il pouvait lui transmettre de l'énergie... Malgré les apparences, il était aux aguets, guettant tout signe d'intrusion ou de danger.

Luttant contre les créatures de plus en plus nombreuse, Torak sent que la situation lui echappe.
Les créatures, de plus en plus nombreuse menacent de les submerger.
Le pire dans tout ça, c'est que les aiels étaient regroupés dans leur camp, et que les créatures n'ont eu aucn mal a les encerclés. La seule soulution et de tenir, en priant pour que les créatures finissent par disparaître.

Torak!
Il se battait contre deux de ses hommes de brumes...
Ne reculons plus! ils font foncés et tenté quelque chose à quoi il ne s'attendront pas.!

Saralia sent la Vraie Source l'envahir.
Aussitôt, le début de panique qui l'avait envhaie s'atténue, de même que la sensation de mal (les deux sont toujours là, mais plus au premier plan de sa conscience).
Aussitôt, la jeune novice commence à tisser un flux d'air pour aider les aiels.
Seulement quand elle lance son tissage, celui-ci disparaît à l'instant où elle le lache. Idem pour le suivant, et pour celui d'après.
Incompréhensilbe. . .

Le reflet d'Elmalia, surpris, interrompit le tissage qu'il avait commencé pour parer l'attaque de Nathaniel. L'épée du jeune homme cogna en résonnant comme sur un mur de métal. Cela donna juste le temps à l'Aes Sedai de commencer à tisser un rempart un peu plus efficace contre ce qu'elle pensait devoir venir.

"Il n'est pas question que je te laisse seul Nathaniel!" lança-t-elle à son Lige.

Soudain, le tissage interrompu reprit à une vitesse fulurante et envoya voler Nathaniel à l'autre bout de la tente. Elmalia tomba, mais ses précautions l'avaient empêché d'être totalement prise par surprise. Elle sentit la douleur de son Lige dans un coin de son esprit mais elle essaya de s'en détacher. Elle devait rester concentrée. Elle commença à tisser un bouclier pour séparer son reflet de la Source, en même temps qu'elle esquivait ses attaques. Toutefois, l'effort à fournir commença à dépasser ses capacités et, déconcentrée, elle prit en pleine figure un tissage d'Air et de Terre qui la propulsa contre son lit.

Aveuglée de douleur, elle avait gardé son emprise sur son dernier tissage qu'elle lança vers son adversaire. Elle eut la satisfaction de voir le halo de lumière disparaitre d'autour de son reflet.

"Vas-y... achève la..." marmonna-t-elle entre ses dents serrées.

Elle devait juste tenir quelques secondes de plus... Elle sentait les efforts de son reflet pour se libérer de sa cage, pour atteindre la saidar. Mais elle tint bon. Des points noirs dansaient devant ses yeux mais elle refusa de se laisser aller tant que son adversaire n'était pas vaincu.

Vous êtes tous en train de lutter contre les effets de la bulle de mal. quand soudain tout s'arrête. Les flammes redeviennent de simples flammes, les paroies des tentes du simples tissus, les soldats de brumes s'évaporent lentement, les grolms disparaissent tout bonnement etc...
S'il n'y avait pas les corps des vistimes du miasme du Ténébreux, et les râles des blessés personne n'aurait pu affirmer que tels horreurs aurait pu se dérouler quelques instants auparavant...

Aussi vite qu'elle a commencé, l'attaque s'achève.
Les "hommes de brûmes disparaissent dans une nuit soudain redevenue clair, laissant les aiels aussi surpris qu'eprouvés.
Torak jette un coup d'oeil autour de lui. Les pertes sont trop lourdes à son goût: des dizaines de cadavres sont eparpillés dans tout le camp. Malgré le peu d'envie qu'il en a, le chef de clan se force à les compter, et il en dénombre cinquante trois.
Cinquante trois lances qui ne reverront pas leur familles. Il a un soupire découragé, mais il s'oblige a parler, d'une voix suffisament forte pour être entendue par tous dans le silence qui s'est abatus sur le camp:

"La nuit n'est pas finie. Cinq minutes de repos, et après on rassemble les corps, pour les brûler. Leurs cendres seront rassemblées et remises à Mylandha, pour qu'elle les gardes jusqu'à ce qu'elles puissent être rendue à la Terre Triple."